Portrait d’un de nos premiers ambassadeurs. Si vous souhaitez en savoir plus sur nos ambassadeurs, n’hésitez pas à aller consulter cette page : Les ambassadeurs d’apprendre les échecs en 24 heures.
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Benjamin, quelle est ton histoire avec les échecs ?
Je me souviens de la tendresse avec laquelle mon père se laissait faire le coup du berger quand j’avais moins de 10 ans. Je me souviens du premier livre d’échecs sur lequel j’ai travaillé pour réussir à battre enfin mon grand père vers l’âge de 14 ans. Je me souviens de l’humilité chèrement apprise lors de mes première soirées au club d’échecs de l’université. Je me souviens de tant de leçons de vie que ce jeu m’a apporté et que j’ai envie de transmettre. Je ne serais pas l’homme que je suis si je n’avais pas rencontré ces 64 cases.
Benjamin, pourquoi as-tu souhaité t’engager dans ce rôle d’ambassadeur d’échecs avec nous ?
Tigran, Hélène, Antony et Rémi transmettent la pédagogie des échecs avec sérieux, sans se prendre au sérieux. Précision échiquéenne, précision pédagogique et légèreté dans la posture pour que enfants et adultes puissent y trouver du plaisir et que cela reste pour touts un jeu. Pourquoi réinventer la poudre alors qu’ils ont si bien fait le job ?
Benjamin, quel message as-tu envie de transmettre aux lecteurs de cette page ?
Il y a mille chemins qui mènent aux échecs. Il y a aussi mille façon de s’y perdre. Un grand joueur à qui je faisais part de mon souhait de créer un atelier d’échecs dans l’école de ma fille m’a demandé : es-tu certain que transmettre le virus des échecs soit réellement un service à rendre à ces enfants ? J’en suis convaincu, avec la pédagogie et la posture adaptée, oui ce virus est un accélérateur d’épanouissement.
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